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Investir dans l'immobilier à Créteil et Maisons-Alfort

Le site Homepilot.fr vient de publier une carte des stations de métro de la région parisienne indiquant les délais de retour sur investissement immobilier, ou plutôt les durée d'amortissement d'un achat. Cette carte montre les secteurs les plus intéressants pour investir dans l'immobilier.Si à Paris, il faut en moyenne 24-25 ans pour amortir un achat, on voit que dans nos secteurs de Créteil et Maisons-Alfort ce délai tourne autour de 15-19 ans. D'après cette étude, c'est effectivement dans les quartiers de la petite couronne parisienne que les investissements sont les plus vite rentables.Cliquez ici pour voir la carte en grand. Vous souhaitez investir? Consultez la liste de nos https://nina-immobilier.fr/Immobilier/Vente.Nina immobilier vous accompagne dans tous vos projets immobiliers, à très vite dans nos agences !
Lire la suite >> 07/01/2019
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Le dépôt de garantie est-il obligatoire ?

Le dépôt de garantie correspond à la somme versée par le locataire au propriétaire au moment de la signature du bail. Mais cette somme est-elle obligatoire ? Quel est le montant versé ? A quel moment le locataire peut-il récupérer cette somme ?  Le dépôt de garantie est quasi systématique  Aucune loi n’oblige réellement le versement d’un dépôt de garantie pour une location, mais c’est usage largement répandu, et dans les faits, il est rare de pouvoir y échapper. Le dépôt de garantie est donc systématiquement réclamé par le propriétaire, car cette somme permet de couvrir d’éventuels désordres dont le locataire serait à l’origine : il peut s’agir par exemple de loyers ou de charges impayés pendant le bail, de dégradations dans le logement dus à de la négligence ou un manque d’entretien, etc. Notez que le dépôt de garantie ne peut pas couvrir l’usure normale des équipements : une moquette qui serait un peu usée après des années de locations, ou des traces de clous dans les murs ne peuvent faire l’objet de la conservation du dépôt de garantie par le propriétaire. Notez que si le dépôt de garantie n’est pas obligatoire, son montant est néanmoins encadré : il ne peut excéder l’équivalent d’un mois de loyer hors charges pour une location vide, et deux mois pour une location meublée.  A quel moment doit-on verser le dépôt de garantie ?   Le dépôt de garantie est versé au moment de la signature du bail. Sachez que même si cette somme doit théoriquement vous être restituée à votre départ et en l’absence de litige avec le propriétaire, ce dernier doit l’encaisser dans un délai de 6 mois maximum à compter de la signature du contrat s’il s’agit d’un chèque, et il l’encaisse généralement directement à la signature du bail. Le dépôt de garantie peut donc être versé en chèque mais également en espèces, mais dans ce dernier cas, le locataire doit repartir avec un reçu qui mentionne la somme versée.  Quand le dépôt de garantie est-il restitué ?  Lors du départ du locataire, ce dernier réalise l’état des lieux de sortie avec le propriétaire. C’est à ce moment que vous comparez l’état du logement à votre entrée (qui est décrit dans l’état des lieux d’entrée), avec l’état du logement à votre départ. Si l’état du logement est conforme à l’état initial, le propriétaire doit vous restituer le montant correspondant au dépôt de garantie dans un délai d’un mois maximum. Si l’état des lieux relève des différences, il doit réaliser des devis pour les réparations, et vous restituer l’éventuel excédent sur le montant du dépôt de garantie dans un délai de 2 mois maximum.   En théorie, le versement du dépôt de garantie n’est pas obligatoire mais en pratique, tous les propriétaires réclament cette somme pour couvrir d’éventuelles défaillances du locataire. Le montant équivaut à 1ou 2 mois de loyers, et il est restitué au locataire à son départ en l’absence de défaillance.
Lire la suite >> 30/04/2021
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La fiscalité avantageuse de la location meublée

Fiscalement, la location meublée est plus intéressante pour le propriétaire-bailleur que la location vide. Revenus à déclarer, régime fiscal, amortissements… tout ce qu’il faut savoir sur la fiscalité applicable dans le cadre d’une location meublée.   Location meublée : quels sont les revenus à déclarer ? Le propriétaire d’un bien loué en meublé doit déclarer les revenus tirés de la location. En tant que loueur en meublé non professionnel (LMNP), les revenus perçus par le propriétaire sont soumis au barème progressif de l'impôt sur le revenu. Ils doivent être déclarés en tant que bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Pour que le propriétaire soit considéré comme loueur non professionnel, ses recettes annuelles tirées de la location doivent être inférieures à 23 000 € ou inférieures au montant total des autres revenus d'activité de son foyer fiscal. Précisons que le propriétaire n’a pas à déclarer les revenus provenant de la location d'une partie de son habitation principale. Fiscalité de la location meublée : quel régime ?  La location meublée offre une fiscalité plus avantageuse que la location vide. Dans le cadre d’une location meublée à titre non professionnel (LMNP), les revenus sont imposés comme des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non pas comme des revenus fonciers. Les règles de déclaration et d'imposition varient selon le montant des loyers. Si les loyers perçus ne dépassent pas 72 600 € par an, le propriétaire dispose du régime micro-BIC et est seulement imposé sur la moitié de ses recettes. En revanche, si les loyers perçus dépassent 72 600 € par an ou que le propriétaire renonce au micro-BIC, il est imposé selon le régime réel, qui permet d’appliquer un système de déduction des charges et d'amortissements. La location meublée permet d'amortir le mobilier Dans le cadre du régime du réel, à l’exclusion du micro foncier, la location meublée permet au propriétaire d’amortir, c’est-à-dire de déduire de ses impôts le coût d’acquisition de l’immobilier et du mobilier. Toutefois, l’amortissement autorisé dans le cadre d’une location est limité. L'amortissement du mobilier et des améliorations du logement est pratiqué sur une durée allant de 5 à 10 ans, soit un taux compris entre 10 et 20 % par an. En ce qui concerne l’immobilier, le prix d'achat du logement doit être amorti en fonction de sa durée de vie. Si cette dernière est estimée à 50 ans, 2 % du prix du bien sont déduits chaque année. 
Lire la suite >> 09/06/2021
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Investissement locatif : comment choisir le secteur ?

Si de nombreux secteurs sont susceptibles de répondre à vos attentes en termes d’investissement locatif, il est primordial de se pencher sur le secteur le plus approprié par rapport à vos attentes, le type de logement que vous souhaitez acheter et vos connaissances du marché immobilier. Commencez par cibler le type de locataire Il est préférable de définir un secteur en fonction du logement que vous comptez acheter (ancien, neuf, grand ou petit espace, une ou plusieurs chambres, etc), ainsi que des candidats à la location susceptible d’être intéressés par ce logement. À titre d’exemple, certaines typologies de logements et certains quartiers seront plus propices aux étudiants, d’autres aux jeunes actifs seuls ou en couple, et d’autres encore aux familles. Si vous choisissez un studio dans l’ancien en centre-ville, le logement attirera davantage d’étudiants qu’un grand appartement dans le neuf et excentré, plutôt plébiscité par les familles. Investissez dans un endroit que vous connaissez Essayez d’investir dans un secteur que vous connaissez. Car cela vous permet de connaître les points d’attractivité de ce secteur, et de mieux choisir à la fois le type de logement et le quartier idéal pour éviter les vacances locatives. Vérifiez la demande en location Enfin, choisissez un secteur dans lequel la demande locative est forte : certaines villes sont réputées abriter un grand nombre de locataires, de colocataires, d’étudiants, de jeunes actifs. Et vérifiez également l’application ou non d’un plafonnement des loyers, mis en place dans certaines villes et certains quartiers, pour calculer votre rentabilité.
Lire la suite >> 21/07/2021
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Vous voulez investir dans l'immobilier neuf ? Pensez à la gestion locative !

Vous pouvez faire appel à un professionnel pour la gestion locative de votre logement neuf : ce dernier vous fait gagner un temps considérable et se charge de tout dans le respect du cadre juridique. Les avantages d'investir dans un logement neuf En réalisant un investissement locatif dans l’immobilier neuf, vous avez la garantie de proposer aux locataires un logement aux dernières normes et en bon état, ce qui vous promet plusieurs années de tranquillité, sans avoir besoin de prévoir un budget rénovation et entretien.De plus, vous pouvez profiter du dispositif Pinel qui vous accorde une réduction d’impôt de 12, 18 ou 21 % selon la durée de mise en location (6, 9 ou 12 ans). Les missions associées à la gestion locative La gestion locative d’un logement est particulièrement chronophage, car elle implique de penser à un certain nombre de missions, parmi lesquelles calculer le montant du loyer, créer des annonces et les publier, organiser et planifier les visites avec les candidats à la location, sélectionner les différents dossiers, rédiger le bail dans le respect des règles juridiques, réaliser les états des lieux d’entrée et de sortie, encaisser les loyers et réaliser les quittances, gérer la relation avec le locataire, etc. Pourquoi confier la gestion locative à un professionnel ? En sollicitant un professionnel pour la gestion locative de votre logement neuf, vous avez la garantie que chaque démarche sera effectuée, chaque mission sera remplie, dans les règles de l’art et dans le respect du cadre juridique. La gestion locative par un professionnel vous permet de gagner un temps considérable, il sécurise la gestion et vous aide à trouver le locataire au profil idéal. 
Lire la suite >> 13/10/2021
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Investir dans le neuf : comment fonctionne une SCPI Pinel ?

Comme un investissement Pinel classique dans l’immobilier neuf, investir en SCPI Pinel permet de bénéficier d'avantages fiscaux. Fonctionnement, conditions à respecter… tout ce qu’il faut retenir sur ce type d’investissement.  Qu'est ce qu'une SCPI Pinel ? Le dispositif Pinel permet d’investir dans l’immobilier neuf tout en bénéficiant d’une réduction d’impôt. Celle-ci varie selon le nombre d’années que l’investisseur s’engage à louer son logement : 12% pour 6 ans, 18% pour 9 ans et 21% pour 12 ans. Une SCPI Pinel est une société civile de placement immobilier permettant d’acheter des parts pour réaliser un investissement immobilier en Pinel. L’investisseur peut bénéficier des avantages fiscaux du dispositif Pinel sans avoir à choisir ou à gérer ses biens. En effet, ces derniers sont confiés à une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). SCPI Pinel : Comment ça fonctionne ? Au cours des 3 premières années, les investisseurs souscrivent et la SCPI récolte leurs fonds, avant de trouver des locataires pour les biens acquis. La SCPI place les fonds collectés sur des investissements à capital garanti. Elle loue les logements pour une durée de 6, 9 ou 12 ans, collecte les loyers et les reverse aux associés. Pendant les 2 ou 3 années qui suivent la période de location, le gestionnaire procède à la revente du patrimoine immobilier pour déterminer la valeur liquidative des parts. Les investisseurs peuvent alors céder leurs parts et récupérer un capital équivalent au nombre de parts détenues et à la valeur de revente des biens immobiliers. Quelles conditions respecter pour bénéficier d'une réduction d'impôt ? Le souscripteur d’une SCPI Pinel bénéficie des avantages fiscaux offerts par le dispositif Pinel : 12% du montant investi pour une durée de location de 6 ans, 18% pour une durée de location de 9 ans et 21% pour une durée de location de 12 ans. Pour que l’investisseur profite de ces avantages fiscaux, plusieurs conditions sont à respecter. Il doit être résident fiscal français durant toute la période de défiscalisation, le montant annuel d’investissement ne peut dépasser 300 000€, les loyers doivent être inférieurs aux plafonds fixés par le dispositif selon la zone où se situent les biens, les locataires doivent respecter les plafonds de ressources du dispositif et les biens doivent être conformes aux normes environnementales en vigueur.
Lire la suite >> 24/11/2021
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Travaux : lesquels reviennent au locataire ?

Dans le cadre d’une location, certains travaux reviennent au propriétaire et d’autres au locataire. Espaces extérieurs, ouvertures, réseaux courants ou bien encore revêtements d'équipements : petit tour d’horizon des travaux à la charge du locataire. Les travaux de l'espace extérieur Le locataire doit réaliser les tâches d’entretien des jardins et espaces extérieurs, à savoir désherber, nettoyer les espaces extérieurs et tondre les espaces verts. De plus, il est également chargé de réparer et entretenir les installations liées à l’arrosage, nettoyer les gouttières, tailler les arbres, etc. Les réparations des ouvertures L’entretien et la réparation des portes et des fenêtres sont des tâches qui reviennent également au locataire. Il doit par exemple remplacer les vitres brisées, les petits éléments intégrés dans les ouvertures tels que les gonds, les serrures, les poignées. Enfin, il lui incombe également de remplacer les clés abîmées ou perdues. Les réseaux courants En ce qui concerne les réseaux d’eau, de gaz et d’électricité, le locataire doit se charger de l’entretien des canalisations, des éviers et lavabos, des appareils sanitaires, des fosses septiques (mis à part le curage), des systèmes de chauffage, et il doit remplacer les tuyaux souples, des joints et des colliers. Les revêtements intérieurs À l’intérieur du logement, le locataire doit entretenir les revêtements de plafonds, de murs et de sols. Cela se manifeste par la vitrification et le cirage, le parquet et le remplacement de la faïence le cas échéant. De plus, il doit réaliser les menues réparations : le remplacement des lames de parquet abîmées, la pose de raccords de moquette ou autre, mais également le rebouchage des trous à la suite du perçage des murs. Les équipements dans un logement meublé Dans un logement meublé, le propriétaire met à disposition du locataire les meubles et équipements nécessaires. En revanche, le locataire doit les entretenir à moins que l’équipement soit trop ancien, auquel cas le propriétaire devra le remplacer. 
Lire la suite >> 26/01/2022
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Investir dans l’immobilier avec une formule clé en main

Vous souhaitez réaliser un investissement locatif ? Vous pouvez envisager l’investissement clé en main afin de bénéficier d’un accompagnement depuis la recherche du bien idéal jusqu’à la gestion locative en passant par les travaux et l’ameublement. Qu'est-ce qu'un investissement locatif clé en main ? Il est possible de solliciter un professionnel pour se faire accompagner lors d’un investissement locatif. Le principe ? Vous déléguez la recherche du bien, les démarches à réaliser, les travaux le cas échéant et la gestion locative par la suite. Vous avez donc affaire à un interlocuteur unique qui se charge de tout pour votre compte, toujours avec votre aval. Les avantages d'un investissement locatif clé en main En choisissant d’investir clé en main, vous pouvez tout d’abord investir à distance, ce qui multiplie les opportunités. Vous êtes accompagné par un professionnel que vous mandatez pour réaliser les démarches de chercher un bien, quelle que soit son adresse. Vous gagnez également beaucoup de temps, car le professionnel ne vous propose que des biens entrant dans vos critères et réalise les démarches pour votre compte. Enfin, vous pouvez investir en toute confiance, car vous êtes accompagné par un spécialiste aguerri qui connaît le milieu, les formalités et la législation. Les avantages d'un investissement locatif L’investissement locatif est avantageux, car il vous permet de vous constituer un patrimoine et de sécuriser votre capital. De plus, il est généralement possible de défiscaliser pour réduire ses impôts. Enfin, vous pouvez voir cet investissement comme une préparation à la retraite et comme un moyen de transmettre un héritage solide à vos enfants.
Lire la suite >> 20/04/2022
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Les avantages de la location meublée

La location meublée offre de multiples avantages au propriétaire-bailleur. Fiscalité attractive, loyers perçus plus élevés… nous faisons le point sur les atouts de ce type de location.  Location meublée : une fiscalité attractive Pour un propriétaire-bailleur, les avantages à louer un appartement en meublé sont multiples, à commencer par une fiscalité attractive. Si ses recettes locatives ne dépassent pas 23 000 € par an et qu’il n’est pas inscrit au registre du commerce en tant que loueur professionnel, le bailleur bénéficie du statut de loueur en meublé non professionnel (LMNP). Les loyers perçus par le propriétaire sont imposés en tant que bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non comme des revenus fonciers. Si ses recettes annuelles ne dépassent pas 72 600 €, le régime micro-BIC s'applique. Le bénéfice imposable est égal aux recettes diminuées d'un abattement forfaitaire pour frais de 50 %. Si ses recettes annuelles sont supérieures à 72 600 €, le régime dit de bénéfice réel s'applique. Ce régime lui permet de déduire de ses recettes l'ensemble de ses charges. Des loyers plus élevés et une gestion plus flexible Un logement loué meublé permet au propriétaire d’appliquer un loyer de 10 à 30 % plus élevé que pour une location vide équivalente en termes de surface, d’emplacement et de qualité. Une location meublée offre donc une meilleure rentabilité brute qu’une location vide. Le montant du dépôt de garantie est également plus avantageux dans le cadre d’une location meublée. Le montant maximum du dépôt de garantie exigible par le propriétaire d’une location meublée est de 2 mois de loyer, contre 1 mois maximum pour une location vide. Un autre avantage de la location meublée concerne la durée du préavis du propriétaire-bailleur, qui est de 3 mois avant la fin du bail, tandis qu’elle est de 6 mois pour une location vide. Location meublée : les obligation du propriétaire Le propriétaire d’un bien mis en location meublée a certaines obligations à respecter. Il doit notamment fournir au locataire un logement décent, comportant un certain nombre d'équipements en bon état ainsi qu'un ameublement minimum dont la liste a été fixée par décret (plaques de cuisson, réfrigérateur, table et sièges, etc.). Le logement doit comporter au moins une pièce principale d'une surface habitable de 9 m² et une hauteur sous plafond minimale de 2,20 m ou bien d'un volume habitable de 20 m³, respecter un critère de performance énergétique minimale et comporter certains équipements (eau potable, chauffage…). De plus, il ne doit pas constituer un risque pour la sécurité ou la santé du locataire (branchements d'électricité et de gaz conformes aux normes de sécurité, aération suffisante, etc.) et ne doit ne pas abriter d'animaux nuisibles ou parasites. 
Lire la suite >> 29/06/2022
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Investissement : pour quelle surface opter ?

 La superficie du logement dans lequel vous allez investir aura un impact sur la rentabilité de votre opération ainsi que sur votre gestion locative. Studio, 2 pièces, 3 pièces… Tour d’horizon des avantages et inconvénients de chaque type de bien.   Investir dans un studio pour bénéficier d'une meilleure rentabilité Le choix de la surface du logement dans lequel vous allez investir dépendra en grande partie de votre capacité financière au moment de votre investissement, de la catégorie de clientèle visée et de la ville plébiscitée. Si votre budget est restreint, le studio constitue l'investissement le plus accessible financièrement, même si le mètre carré coûte plus cher que pour un logement plus spacieux. De plus, les studios offrent une meilleure rentabilité locative puisqu’ils se louent, proportionnellement à la superficie, plus chers. Très prisés par les étudiants, les jeunes actifs et les personnes seules, ils se louent également plus rapidement, en particulier dans les villes étudiantes et les grandes métropoles. Néanmoins, la rotation des locataires est plus fréquente, impliquant davantage de travaux de remise en état, et donc des frais supplémentaires, pondérant la meilleure rentabilité locative offerte par ce type de logement.   Les grandes surfaces offrent une plus grande stabilité Financièrement parlant, le coût d’un logement de 3 ou 4 pièces sera bien plus important que celui d’un studio. Un investissement locatif dans ce type de logement offre aussi une rentabilité locative moindre. En revanche, il s’agit d’une location plus pérenne puisque les locataires de maisons ou de grands appartements restent généralement plusieurs années dans leur logement. Cette faible rotation des locataires vous assure de longues périodes sans travaux de remise en état et limite les périodes de vacance locative. De plus, les logements de 3 ou 4 pièces sont principalement loués par des familles, dont les revenus sont plus stables que ceux des étudiants ou des jeunes actifs. Les risques d’impayés sont donc faibles. En outre, les grandes surfaces permettent d’obtenir une belle plus-value à la revente, car elles sont prisées, mais rares sur le marché. Investissement locatif : les deux pièces constituent un bon compromis Contrairement aux studios, qui connaissent un fort taux de turn-over de locataires, les T2 offrent une plus grande stabilité. Les locataires restent en moyenne 48 mois dans leur logement avant d’envisager de déménager pour une surface plus importante. De plus, les T2 sont prisés par les couples, une clientèle rassurante puisqu’ils perçoivent deux revenus. En investissement dans ce type de logement, vous êtes donc assuré de percevoir des revenus réguliers, tout en réduisant la fréquence des travaux de remise en état entre deux locations. Le prix au mètre carré d’un deux pièces est également moins onéreux que pour un studio. Ainsi, offrant une meilleure stabilité que les studios et une rentabilité locative plus importante que les grandes surfaces (T3, T4, maison, etc.), les T2 représentent un très bon compromis pour un investissement locatif.   
Lire la suite >> 21/09/2022
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Location : qui paie les frais d’agence ?

Passer par une agence immobilière pour louer son logement entraîne le paiement de frais et d'honoraires. Sont-ils plafonnés et est-ce au propriétaire ou au locataire de les prendre en charge ? Tout ce qu’il faut savoir. Propriétaire ou locataire : Qui paie les frais d'agence dans une location ? Lors de la mise en location d’un bien immobilier, le paiement de certains frais facturés par l'agence peut être partagé entre le propriétaire et le locataire. C’est notamment le cas des frais de visite du logement, de la création du dossier du locataire, de la rédaction du bail de location et de l’état des lieux d’entrée. En revanche, la commission d'intermédiaire en location est intégralement à la charge du propriétaire du bien depuis la mise en place de la loi Alur, tout comme les diagnostics immobiliers obligatoires, qui doivent être valables au moment de la mise en location. Leur durée de validité varie en fonction du diagnostic. Location : Les frais d'agence sont plafonnés Dans le cadre d’une location, les frais d’agence ne sont pas encadrés. Toutefois, le montant payé par le locataire ne peut dépasser le montant de la part payée par le propriétaire, ainsi qu’un montant maximum, exprimé par un prix TTC (toute taxe comprise) par mètre carré de surface habitable. Le montant maximum payable par le locataire varie en fonction de la localisation du bien. Il est de 12 € TTC par mètre carré dans les zones très tendues, 10 € TTC par mètre carré dans les zones tendues et 8 € TTC par mètre carré dans le reste du territoire. En outre, si l'état des lieux est réalisé par un professionnel, une partie des honoraires peut être à la charge du locataire. La part payée par le locataire ne peut pas dépasser 3 € TTC par m² de surface habitable et le montant payé par le propriétaire. Les honoraires doivent être indiqués précisément par l'agence L’agence immobilière en charge de la mise en location doit indiquer les tarifs qu’elle pratique toute taxe comprise (TTC). De plus, ses tarifs doivent être affichés de façon visible et lisible, à l'entrée de l'agence, sur la vitrine de l'agence, sur chaque vitrine publicitaire située hors de l'agence et dans les foires ou salons. Pour chaque prestation, il doit être précisé si c’est au propriétaire ou au locataire de la prendre en charge. En dehors des frais d’agence, les annonces doivent préciser certains éléments relatifs au logement, comme le montant du loyer mensuel, le montant du complément de loyer exigé, le montant le cas échéant des charges récupérables, le montant du dépôt de garantie et caractère vide ou meublé du logement, la surface et la localisation.
Lire la suite >> 14/12/2022
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Peut-on bénéficier d’aides à la rénovation en tant que locataire ?

En tant que locataire, vous pouvez parfaitement prétendre à des aides à la rénovation, qu’il s’agisse de travaux d’amélioration ou de rénovation énergétique selon les cas. Les conditions d’éligibilité varient, ainsi que les montants accordés. La prime coup de pouce chauffage Si vous souhaitez changer votre système de chauffage actuel par un système plus performant et moins coûteux, la prime Coup de Pouce Chauffage permet aux locataires de financer le remplacement de votre chaudière au fioul, au gaz et au charbon par un système de chauffage utilisant les énergies renouvelables. Le montant de la prime dépend de la nature des travaux et du niveau de revenus. Les certificats d'économie d'énergie CEE Ces primes CEE sont proposées par les fournisseurs d’énergie et accessibles aux locataires pour des travaux comme l’isolation, mais il peut également s’agir de diagnostics gratuits ou encore de prêts bonifiés. Les travaux effectués doivent permettre d’atteindre des seuils de performance thermique minimaux. Le montant de l’aide varie d’un dossier à l’autre. Le prêt de la caisse d'allocations familiales La CAF propose un prêt à l’amélioration de l’habitat, et les locataires y sont éligibles. Il permet d’effectuer des travaux dans un logement à condition qu’il s’agisse de votre résidence principale. Il peut atteindre 80 % du montant des dépenses dans la limite de 1 067,14 € et est remboursable sur 10 ans maximum selon les cas. Le crédit d'impôt pour équipe les personnes âgées ou handicapées Il existe un crédit d’impôt pour les personnes âgées en perte d’autonomie ou en situation de handicap, qui les soutient dans l’objectif de réaliser des travaux dans le domicile afin l’équiper et le rendre adapté à la situation du locataire. Ce crédit d’impôt s’élève à 25 % du montant des dépenses, et ces dépenses sont plafonnées en fonction du nombre de personnes qui composent le foyer. L'aide de la caisse de retraite La caisse de retraite peut accorder aux locataires une aide financière pouvant aller jusqu’à 3 500 € pour réaliser des travaux dans le logement afin de l’améliorer et l’adapter aux besoins de la personne qui l’habite. Les aides de l'ANAH L’Agence nationale de l’habitat peut accorder des aides financières pour réaliser des travaux de rénovation énergétique ou d’adaptation à la perte d’autonomie dans le logement en location, à condition que ce dernier ait été construit il y a au moins 15 ans. Le montant accordé dépend de la nature et de l’ampleur des travaux.En tant que locataire, il est possible de bénéficier de plusieurs aides financières pour réaliser des travaux de rénovation énergétique ou d'adaptation à la perte d'autonomie dans son logement. Il est donc important de se renseigner auprès des organismes concernés pour savoir à quelle aide on peut prétendre et comment en bénéficier !
Lire la suite >> 19/04/2023